Nouvelle session, nouvelle chambre... [PV Shiki et Sora]

J'étais enfin arrivé devant ma porte de chambre. j'entrai, fixant les alentours. Deux grands lits de chaque côté de la chambre (un au fond et l'autre au bord), deux commodes, deux bureaux de travail et deux tables de chevet. Je lançai mes sacs dans le lit du fond, fermant ensuite la porte derrière moi. Je retirai mes bottes à plateformes de mes pieds pour les laisser non loin de la porte, puis je me rendis rapidement à mon lit, m'asseoyant dessus... aussi peu confortable que toute les autres lits des autres chambre... j'aurai décidément pas des bonnes nuits cette session-ci non plus...

Je fus aveuglé par la lumière de l'extérieur... un peu trop belle à mon goût, maudite lumière. Rapidement, je fermai les rideaux, qui étaient, malheureusement pour moi, légèrement transparent. Je ne voulais pas me casser la tete à fermer le store, donc je fis avec... J'ouvris ma commode et mon sac de bagage. Je pris les vêtements dedans et je les mis dans les tablettes, puis je lançai le sac de bagage dans le fond de ma chambre. Je pris mon sac de toilette et j'allai visiter la salle de bain. La même chose que dans toute les chambres... Je vidai mon sac, déposai mes articles aux bons endroits, brosse à dents, savon, shampooing...

Lorsque je sortis de la salle de bain, je fixai le sac que j'avais à la main et je l'envoya rejoindre l'autre sac dans le coin près de mon lit. J'avais hâte de savoir qui j'aurais comme partenaire de chambre... étant dans la première chambre, j'avais surement un partenaire, mais qui ! Je fis un saut et je me retournai rapidement lorsque j'entendis la porte s'ouvrir tranquillement. Je crois que je ne tarderia pas à le savoir...

Une nouvelle session qui commence. Je suis très heureux. J'ai toujours aimer l'école et plus j'y reste longtemps plus ça fera mon bonheur. En plus pendant la semaine il va falloir que je loge dans un dortoir avec un autre étudiant. Je me demande tellement comment il sera. Petit, grand, gros, squelettique ? Punk, riche, chauve ? Aimera-t-il la littérature comme moi ? Et s'il détestait cette matière !? Il ne m'aimera pas non plus! Oh non...Non! non!, Shiki, reste positif! Mon but cette session est de me faire des amis, des vrai. J'en ai marre d'être seul. J'en peut plus. Je veux quelqu'un dans ma vie et je compte bien le trouver cette année. Ce ne seras peu être pas celui qui se trouvera dans la même chambre que moi, mais je compte bien m'en faire un ami. J'espère tellement qu'il sera sympathique. Si il est méchant avec moi je change de chambre c'est certain ! Je marche présentement dans le couloir qui mène à ma chambre. Ma valise à roulette est derrière et j'essaie de rester calme. J'arrive à la chambre numéro 1. Je prend une grande respiration puis ouvre la porte. Ah, tiens, il y a déjà quelqu'un dans la chambre. Je suis un peu nerveux...Il est plus petit que moi. Ses cheveux sont blanc. Ses vêtements sont étrange. Il vient d'une autre époque ? Bref...vaux mieux le saluer.

-Salut..., dit-je d'un ton neutre. Pas question de montrer ma gêne. Un vrai mur de brique. J'ai l'air d'un dur. Ça ne me plais pas mais je n'ai pas le choix. Trop de gens m’ont blesser. Mais je sais que je devrais faire un effort cette session ci. Misère...

Un peu perdu dans ma tête, imaginant toute sorte de scénario sur l'arrivée de mon nouveau coloc de chambre, je fixais la porte. Premièrement, quel type d'homme il s'agirait ? Est-ce qu'il serait stupide à taper sur les nerfs ? blafard avec des pantalons taille haute par dessus son chandail à étudier à longueur de journée ou encore, serait-il le beau mec parfait qui viendrait S'installer dans le lit juste à côté de moi ?

Je vis rapidement ma réponse lorsque la porte s'ouvrit complètement. Un homme, pas très laid, qui ne semblait Ni intello, ni dérangeant, ni athlétique, plus grand que moi. Il était normal. S'il aurait été plus petit que moi, il n'aurait pas été très normal, disons. Il s'engagea de façon tout aussi normal que lui : d'un simple Salut. Eh bah, je crois que la session va être comme toute les autres, avec un coloc normal, une scolarité normal, un père qui tape sur les nerfs la fin de semaine et un lit pas très confortable...

« Salut ~ » Dis-je, voix pas très forte, mon ton tout aussi neutre qu'à l'habitude.

Mon regard passant alors de lui à mon sac d'école. Je le pris et je me rendis à ma table de travail, prêt à le vider aussi. Je l'ouvris et je commençai à enlever les trucs de l'intérieur pour les mettre sur ma table de travail. Autant des trucs de dessins, des livres d'école, des partitions de basse. En parlant de basse, faudrait que je emmène la mienne la semaine prochaine. Je me retournai ensuite vers le nouveau Coloc.

« Mizushima Yuki... et toi ? »

Oh mon dieu! Est-ce qu'il me déteste déjà ? Qu'est-ce qu'il pense de moi ?! Je ne peu le savoir car tout comme moi il est d'une parfaite neutralité. Caractère impassible, rien à dévoiler. Comment m'en faire un ami ? Je stress tellement. À l'extérieur j'ai l'air de m'en foutre complétement mais à l'intérieur c'est tout le contraire. Si je laissai sortir mes émotion j'aurai surement l'air d'un vrai fou. On m'enfermerai c'est sur ! Bon, bon...pense à autre Shiki.

Je regarda un peu ma nouvelle chambre. Décor qui manque cruellement de décoration. C'est plate, dans tout les sens du terme. Bon, ce n'est pas si grave. Cette chambre n'est ma maison pour le reste de ma vie. Je me dirigea vers mon lit, y posa ma valise et l’ouvrit pour en vider le contenu. Mon nouveau coloc faisait de même. Je sortait mes quelque vêtements, les ranger dans ma petite commode. Puis le garçon me dit:

« Mizushima Yuki... et toi ? »

Ah, c'est son nom ça. Yuki. Neige. Comme ses cheveux blanc. Ça lui va plutôt bien mais je suis convaincu qu'il y a une attrape dans cette coïncidence. Bref, je lui répond.

« Shiki Uryuu. »

Que je dit d'une voix grave en le regardant à peine. Mais mon regard décida soudainement de s'attarder sur le jeune homme. Je le regarda plus attentivement. Son visage. Son corps. Il était plus petit que moi donc il serais obligatoirement le Uke. Je pourrais le dominer avec tant de facilité. Je pourrais lui faire tant de chose. J'aimerais bien voir son petit visage rouge de honte. Hm. Idées, idées....

je continuai de vider mes cahiers, mes trucs et mes crayons sur ma table de travail, ne parlant pas plus avec le nouvel arrivé. Le silence installé faisait naître un gros malaise en moi. toujours sans parler, je lançai mon sac dans le coin, pour le faire rejoindre les deux autres. Pour mon sac d'école, je le pris et je le déposai sur ma chaise de bureau, commençant à y mettre les cahiers demandés pour les cours du lendemain.

Cependant, le silence mal à l'aise me força à regarder le dénommé Shiki. Sinsèrement, je me demandais ce qu'il me trouvait... j'étais pourtant bien normal, malgré mes vêtements... et mes cheveux... et mes yeux... Bon, disons que je n'étais pas très normal, mais il ne cessait de me regarder !! Je ne savais pas pourquoi, j'avais plusieurs idées en tête, soit qu'il me désirait plus que tout et qu'il était présentement en train de fantasmer des trucs étranges envers moi, soit qu'il me trouve très étrange et qu'il se demande si je viens de pluton à cause de ma taille et de mon style, soit il est simplement lunatique et que j'ai tombé à être son point de fixe ou bien que je me situait dans son point fixe. Je me retournai lentement vers lui, le fixant à mon tour.
« Oui ? » demandais-je, de ma voix douce habituelle. Je tassai une mèche de cheveux qui venait de me tomber dans la figure et qui cachait mon deuxième oeil. Ça ne me dérange pas d'avoir des cheveux dans le visage, mais j'aime bien garder un oeil sur mon vis-à-vis...

Je voulais vraiment savoir ce qu'il me trouvait, peut-être était-il juste trop gêné pour me demander quelque chose ou pour me poser une question... peut-être qu'en engageant la conversation en premier, je le ferais parler un peu mieux... Si ce n'était pas le cas, je le ferais peut-être sortir de ses fantasmes ou bien de son état lunatique, je le ferais revenir à la réalité...

Je le scrutait sans aucune discrétion ni aucune gêne. Je le déshabillait avec mes yeux et l'examinait dans ses moindre détails. Je m'imaginait avec lui, dans un lit, lui mordant le cou, lui donnant de sauvage coup de bassin, et lui il aimerait ça et en jouirait de plaisir. Ça ce n'était que la version ''soft''. Je me demande s'il aime se faire sodomiser comme la plupart de mes clients. Ce serais vraiment bien. Hmmm, toute ces images me donne de terrible envie. Ce mec est mieux d'être ouverts d'esprit sinon ça risque d'être ennuyeux. Ou ça pourrait être intéressant au contraire. Je pourrait l'initier, le convertir, lui apprendre plein de chose. S'il n'y connais rien j'utiliserais cette avantage de mon coté et j'en ferais mon jouet. Je pourrais le violer plusieurs fois par jour. Je lui apposerais ma marque. Comme ça il m’appartiendrais pour de vrai. Mais avant de commencer ce petit jeu, vaudrais mieux attendre de connaitre les autres élèves des dortoirs d'à coté. Mais c'est quand même très plaisant à imaginer. Si je continue comme ça je crois pas que je pourrais tenir jusqu'à demain...Mais plus je le regardait plus je me questionnais. Il est serte petit mais certainement pas plus jeune que moi. Ni plus vieux d'ailleurs. Il a l'air d'un personne très sage. Il est très à l'ordre et c'est vraiment intriguant...Je sais pas quoi, il y quelque chose d’intrigant chez ce garçon. Il m'a l'air trop...Ah! j'ai trouver. Mais ce genre de chose ça ce demande pas. J'ai pas envie de le violer tout de suite mais j'ai vraiment envie de le savoir. Donc je me retourne vers lui pour être vraiment en face de sa personne et le plus naturellement du monde, je lui demande:

« Est-ce que tu est vierge ? »

Je continuais de fixer Shiki, l'homme devant lui qui serait la personne qui passera la session dans la même chambre que lui... le nouveau venu. Il ne cessait de me regarder !! Il était décidément en train de fantasmer sur moi... ou qu'il était sérieusement lunatique, mais il restait totalement neutre, me fixant de la tête aux pieds... je me sentais vraiment observé et j'aimais pas ça du tout... Cependant, lorsque j'entendis sa question, je compris rapidement qu'il fantasmait sur moi... évidemment, je n'y répondis pas. Je rougis comme une tomate... du moins je crois, je sentais la peau de mon visage devenir bouillant. Je m'empressai de me tourner dos à lui, continuant de faire mon ménage de sac à dos. Non, mais pour qui il se prenait !! Je ne répondrai décidément pas à cette question, peu importe ce qu'il me fera... c'est tellement le genre d'être impoli !!

« Pourquoi tu me poses ça !! » Voir que je viens de demander ça ! C'est pourtant clair ! Maudit cave que je suis ><

Et dire que je serai coincé avec un pervers ainsi dans ma chambre... Il n'était pas si mal, il avait un air mystérieux, n'était pas laid du tout... mais ça me gênerais plus que tout d'être coincé avec un gars qui risque de me violer à tout moment, surtout après avoir su qu'il fantasme sur moi dès les premiers contacts visuels... Pourquoi je suis fait aussi petit d'ailleurs... je peux tellement pas me défendre, et en plus je me ramasse assurément inférieur... Damn you, Yuki !!

Oh mon dieu. Sa réaction déclencha une sensation fort agréable vers mon bas ventre. Pas extrême mais juste assez pour lui faire peur. Son petit visage rougi de honte et de gêne.Ses joue devint rouge en moi d'une seconde et il se tourna aussitôt dos à moi. Je sourie. Erreur fatal. Dans mon fort antérieur je riait comme un sadique qui viens de créer un monster. Ce petit bonhomme eu la réaction parfaite. Mais une petite lumière dans ma tête. Elle me signalait que '' Non Shiki, pas tout de suite''. Je réfléchi un instant. Hm, pas si mauvaise idée. Au lieu de tout de suite lui sauter dessus, pouvoir je ne ferais pas que m'amuser avec lui ? Un genre de préliminaire constant que je lui ferais subir 24 heure sur 24 et au final ce sera lui qui me voudra. Oh que c'est diabolique. Mais c'est parfait comme ça. Sourire pervers.

Je laissa ma valise de coté et me dirigea vers le jeune homme. Dos à moi il était vulnérable comme une souris devant un chat. Je me colla à lui. Je le dépassait d'au moins une tête. Il a vraiment la taille d'un enfant. Mon torse et mon bas ventre était collé sur lui, dans son dos. J'avança mes bras et les mis sur son ventre et menaça physiquement de les descendre.

« Parce que ça m'intrigue... » dis-je d'une voix langoureuse. Mouhaha que je m'amusait ! Ah que c'était bon ! Que de joie de traumatiser les petits sans défense.

Étant légèrement surpris de ne rien entendre au retour, j'allais continuer mes affaires lorsque je sentis une drôle de chaleur dans mon dos, puis l'homme qui s'était collé à moi sans raison. Puis son explication. J'avais figé sur place. Ses mains étaient légèrement menaçante, je ne savais pas trop quoi faire... j'étais mal foutu, disons. Bon... bah être coincé avec quelqu'un comme ça toute la session serait définitivement l'enfer. ou pas, dépendant de comment ça allait virer. mais parti comme ça, s'il continuait à me sauter dans le dos à l'improviste comme ça, il ne la trouverait pas drôle quand je vais me tanner... il va sérieusement le regretter.

« veux-tu bien me lâcher !! »

dis-je, sans toutefois me défendre. J'étais, disons, fatiguée... un peu trop pour avoir à me défendre sans raison face à un homme comme lui qui venait simplement se coller à moi sans raison... Il ne me tapait pas sur les nerfs, mais la chaleur qu'il dégageait était étrange... Face ce que je lui avait dit, s'il me lâche, tant mieux pour moi, si non, tant mieux pour lui... Des fois, je peux avoir une drôle de philosophie, mais c'est la faute de la paresse, tsay !

Un sourire s’étirait sur mon visage mais mes yeux restait plisser. Mizushima-kun me dit de le lâcher mais j'en avait pas trop envie, maintenant. Je continuait de m'imaginer tout les trucs que je pouvais faire avec ce petit garçon des neiges. Ma main gauche monta jusqu'à son cou et je pencha un peu sa tête vers moi et sur le coté en même temps et m'approcha de son oreille. Je fis exprès pour qu'il sente mon souffle sur lui et en même temps je descendais un peu plus ma main droite vers son bas ventre.

« Tu n'a pas répondu à ma question...Je suis triste que tu m'ignore. » Lui dis-je calmement.

Puis j'émis un petit ricanement. Ma main droite détacha le bouton de son pantalons et les doigts de ma main gauche caressai son petit cou frêle et froid.

« On joue ? » Ma voix fût plus chaude et mielleuse.

Bon sang, c'est long avant qu'il réagisse. S'il n'a pas bientôt une petite réaction je le viole c'est certain ! Comment il peu rester neutre aussi longtemps. Mais ça crée aussi un effet positifs. Ce n'est pas comme à mon travail où les gars bande direct en me voyant à genoux dans le lit. Ça fait du bien un peu de changement. Mais j'ai quand même de terrible envies...P'tain! Je peux quand même pas déjà être en manque ! Foutu libido...Bon, on se calme, tu ne fait que jouer un peu. N'oublie ton plan machiavélique de torture sexuelle à distance constante pour que ce petit ce jette dans tes bras. Bon, ça fonctionne, mais pas totalement calmer. S'il fait la moindre erreur, on est fait. Le faire dès le matin avant les cours et la première journée de classe. Je me désespère moi même parfois. Mais c'est tellement bon....Ah merde ! Arrête te t’exciter tout seul ! Grmlmlml....

Je me demandais vraiment qu’est-ce qu’il attendait de moi. Je me demandais vraiment s’il essayais de me violer ou quoi, mais c’était drôlement mal parti. J’étais drôlement mal foutu… je sentis ensuite ma tête se faire tourner de force par l’homme derrière moi. Ce dernier osa venir me souffler dans l’oreille, me redemandant encore une fois, de façon plus subtile, si j’étais vierge ou non.

« Et si j’n’ai pas envi de te le dire ? »

Et voilà, j’ai dit ça. Pourquoi, je ne sais pas, mais fallait que je dise quelque chose qui pourrait faire empirer la situation. Je n’aide jamais aux mauvaises causes... Et voilà que Uryuu-kun commençait à faire passer ses doigts sur la peau de mon cou. Un frisson qui n’était pas vraiment voulu me parcourut le corps. Puis, une main glissa et ouvrit mon pantalon. Quoi faire !! Il me tenait presque en otage, à la grandeur et la force que j’avais, c’était impossible de tenir tête à l’homme derrière moi ! De plus, le contact de ses doigts dans mon cou me faisait de drôles de sensations qui m’empêchait de bouger, à quelque part… j’étais comme, figé sur place, sans pouvoir bouger, sans pouvoir rien faire… je me sentais, étrange…

Je continuais de le caresser légèrement dans le cou quand il me dit :

« Et si j’n’ai pas envie de te le dire ? »

Est-ce qu'il joue avec le feu ou il est juste imbécile ? Ou il est peu être vraiment sur de lui et la situation va se retourner contre moi ?..........Non, ça ce peu pas. Mais pourquoi il me dit des choses de ce genre quand je suis à deux doigt de le violer ? C'est vraiment intriguant. Mais le commence à perdre patience. J'ôte mes mains et le retourne et pousse brusquement sur son lit et me met à quatre pattes par dessus lui. Je le regarde droit dans les yeux. Puis je plaque une de mes mains direct sous son pantalons, carrément sur son entre jambe qui n'est séparer que part le mince tissu de son sous vêtement.

« C'est quoi c'est petite allusion ? Pourquoi tu ne fait pas que répondre tout suite. Ce n'est pas si difficile que ça à se que je sache. Répond à ma question et je te laisse tranquille. »

Mon ton est calme, posé. Je ne veux pas lui faire peur mais ça tourne en rond, et ça, ça m'énerve.

Sans avertir, Shiki me retourna. Je fus obligé de suivre le mouvement de ses bras vu la force qu'il me tenait, puis je fus propulsé vers le lit, m'enfargeant sur le bord de celui-ci pour tomber sur le dos. Il ne prit aucun instant à me sauter dessus et avant que j'aille eu le temps de réagir, je sentis sa main dans mes pantalons, directement sur mon entre-jambe, m'arrachant un étrange gémissement étouffé. Puis, celui-ci expliqua sa conduite par le fait que je n'avais pas répondu à sa question. Mais sur quel cinglé j'étais tombé !!!!!!!!

« Non je le suis pas... vas-tu me lâcher maintenant !! »

Ma voix était agressive. Je m'étais redressé sur mes coudes. Qu'il ose me toucher pour voir !! Il me cherchait, j'avais un peu de difficulté à me retenir, sinon je crois que je lui sauterais au visage et que je lui arracherais sauvagement les yeux pour lui faire manger cru... Heureusement pour moi que mon Orgueil m'empêchait de perdre contrôle face à mon autre moi... sinon, ça serait déjà fait je crois. Il avait besoin de me lâcher, sinon ça risquait d'aller très mal pour ce mec étrange qui semblait avoir la libido dans le tapis...

Quand je plaqua ma main sur son engin il poussa un gémissement. Il était un peu étrange mais ça n'aidait pas les choses. C'est dur de reste concentrer. Je restait fixer sur son visage gêner et je me disais que je pourrais le faire maintenant. Vite fait bien fait. Mais non, il ne faut pas que je le fasse. J'essaie de m’auto-convaincre mais ma tentative est un peu désespéré. Bref.

« Ben voilà, c'était pas compliqué. »

J'enleva lentement ma main de son pantalon et me mis à genoux. Je pris sa tête et l'embrassa sur le front. Ensuite je lui souris comme si je m'amusai avec lui. Ce n'était vrai qu'a moitié car en ce moment j'ai vraiment envie de le faire. Mais curieusement je voulais attendre avant de faire quoi que soit avec ce garçon. Je me releva en lui tendant ma main pour l'aider à ce relever.

Lorsque ce dernier décida de se replier, puis de se relever, je fus soulagé... mais déçu... je ne comprenais plus rien dans ma tête, c'était si étrange. C'est comme si je désirais cet homme, mais à quelque part, il a fahi me violer... si on peux appeler ça un viol. J'étais tellement perdu ! Bref, lorsqu'il me tendit la main, je l'ignora totalement, sortant par un autre côté du lit, filant tout droit dans la salle de bain. Je fermai la porte assez fort, la barrant par la même occasion. Je m'accotai sur la porte, lâchant un certain soupir. Je me rendis par la suite au Lavabo. Je sortis une serviette de l'armoire et je partis l'eau froide. J'y emplis rapidement mes mains, plongeant mon visage dedans plusieurs fois. Mes yeux étant fermés, mes lentilles ne faisait rien, dérangeant aucunement. Ça faisait du bien de l'eau fraîche après avoir eu si chaud ainsi... Ensuite, je me séchai le visage et les quelques mèches de cheveux trempés.

Je retirai mon grand veston noir et doré et ma cravate en dentelle, m'assurant que ma chemise ne soit pas trop fripée. Je refermai mon pantalon qui était toujours ouvert. Je mis la serviette dans mon panier à vêtements sales puis je retournai près de la porte, mon veston à la main. J'ouvris la porte, lançant mon veston sur mon lit. Je ne savais toujours pas quoi faire pour l'instant. J'aimerais bien aller sur mon PC, mais le réseau sans fil ne nous sera pas accessible jusqu'à demain, puisque c'est là qu'ils nous donneront la clef d'activation. Dommage, j'aurais aimé aller sur l'ordinateur...

Aussitôt il partit à grande vitesse vers la salle de bain en ignorant totalement mon aide et il s'enferma à l'intérieur. Je me redressa et souris. Il est drôle ce petit gars. Ce qui serais encore plus drôle c'est s'il serais en train de ce soulager à cause du petit numéro que je lui ai fait. Mais je tendis l'oreille et je n'entendis que de l'eau couler. Ah. Et bien ça veut seulement dire que ce sera un très long jeu entre nous deux, jusqu'à ce qu'il cède. Je retourna donc ranger toute mes affaires. Quand j’eus presque fini, il sortit de la salle de bain. Il avait enlever son horrible veston et...l'autre chose que je ne savais pros ce que c'était, mais c'était tout aussi affreux. Je m'assis sur mon lit, croisa les jambes et m'accota sur la paume de ma main. Je le regarda. Il n'avait que sa chemise blanche et ses pantalon noir.

« C'est bien mieux sans tout ces accessoires. Tu devrais modifier ton style un peu. Tu serais plus mignon. »

Simple suggestion clair et net. Mon ton était très gentil, presque amical même ! Mais je parie qu'il va mal le prendre.

Je jetai un regard sur lui. Il me regardait toujours, accoté sur la paume de sa main. Était-il toujours en train de fantasmer sur moi ? Il me tapait sérieusement sur les nerfs à force de me regarder ainsi... Je détournai le regard vers la chambre, fouillant un peu partout du regard, à savoir quoi faire. Puis, ce dernier rajouta une phrase que je ne pris pas la peine d'écouter, bien que j'entendis quand-même. J'en pris conscience dans mon esprit quelques secondes après.

« Je changerai pas mon style pour toi, crois moi. »

dis-je. Bien que sa phrase était sur un ton assez gentil, ma réponse fut brève et raide... Évidemment je ne changerai mon style pour rien au monde, surtout pas pour un coureur de culottes à la libido en feu comme lui.

« Tant qu'à dire toutes ces niaiseries, vas donc te coucher...»

rajoutais-je, sur le même ton légèremetn arrogant. J'espérais qu'il ne le prennes pas dans l'autre sens, ça serais bien son genre de prendre ce que j'ai dit au sens pervers, mais j'espérais que non... cet homme me mettait décidément très mal à l'aise. Je pourrai jamais dormir la tête tranquille avec un pervers comme ça dans ma chambre, surtout avec la façon dont il agit constamment.

Ah ah! Je l'avais parier ! Il me lança deux remarque froide et sèche. Comme de la glace sèche. Mais j'étais bien trop chaud pour que ça m’atteigne. Je ne fit que sourire d'amusement. Mais à sa seconde remarque, je commençais à croire qu'il jouait avec le feux.

« Il ne serait pas un peu trop tôt pour dormir ? À moins que tu voulais dire tout autre chose, hm ? »

Je me leva et m'approcha un peu de lui. Le but premier était d'aller chercher le reste de ma valise pour aller le ranger dans la salle de bain mais en même temps j'en profita pour lui mettre un peu de pression.

effectivement, après ce que j'avais dit, il avait sérieusement pensé au côté que je craignais qu'il pense. La seule chose que je pensais à lui cracher au visage :

« Vas-tu la fermer un jour !! »

dis-je, le ton de voix un peu plus élevé. Je le regardais, un regard toujours aussi meurtrier au visage, ne cedant pas du tout à son approche. De toute façon, je me foutais de ce qu'il pourrait bien me faire, au pire, j'irai l'accuser... pas plus ocmpliqué. Du moins, c'est ce que je me disais moi-même. Cependant, il y a un autre moi, à quelque part, qui aimerais juste lui arracher le nez à coup de dents, les yeux avec des cuillères, lui faire avaler tout rond et cru, puis lui couper la tête avec un couteau à steak. Mais drôlement, un autre côté de moi - oui il y en a trois, mais je ne m'attendais pas à ça de la part de ce côté - qui semblait le désirer... le vouloir sous la main, dans le même lit... je ne savais vriament plus quoi penser, j'étais, disons, perdu dans ma tête, concentré à tenter de ne pas me laisser envahir par les deux autres côté de moi, ce qui pourraient devenir désastreux...

Il me cracha des mots méchant. Très méchant. Je ne sourie pas. Je ne fit que m'étirer encore un peu et pris le reste de mon sac, ce qui constituait: shampoing, brosse à dents, etc...Je me dirigea ensuite vers la salle de bain où je mis toute mes petites choses en place et revins vers la chambre. Je me coucha dans mon lit puis pris un livre au hasard. Puis je lis en faisant bien attention de faire comme si le méchant garçon n'existait plus. Mais ce n'était pas de chance car le livre que je pris était très...érotique. Tant pi, je le lis quand même. S'il vient m'embêter ce sera pire et je me défoulerai sur lui. Je lis. Lignes par lignes, pages par pages. Les scènes n'avait aucune censure. Ça ce pénétrai à cent milles à l'heure, ça ce sodomisait même ! Ça décrivait tout dans les moindre détail. Jusqu'à la petite goutte de sueur dans le cou jusqu'au mouvement des pieds. Mais bon sang c'est quoi ce livre ? Je regarde la couverture. Ah....Les 120 jours de Sodome. C'est mon genre de livre. Je crois qu'un de mes client pendant un tripe à trois le lisait à haute voix pendant que nous le faisions. C'était très ''hard''. Je crois que ce mec était un peu fou. Mais faut avouer que cette nuit fut merveilleuse. Mais je crois que j'ai encore des cicatrices dans le dos...Mais bon, je continua quand même de lire le livre. Tout en faisant bien exprès de l'ignorer. Même s'il me parle je ne répondrais pas. Ça fait un peu partie du jeu aussi. Faire semblant de l'ignorer pour qu'il se rende compte à quel point il s’intéresse aussi à vous. Ah ah ah. Je suis machiavélique.

Content de voir qu'il s'était enfin fermé la trappe, je pourrais peut-être réfléchir aisément. Il semblait me bouder, mais ça ne me dérangeait pas trop, ça ferait du bien de ne plus l'entendre parler inutilement... par contre, je le vis prendre un livre et le lire... un livre de quoi, je ne savais pas et sinsèrement, je n'étais pas intéressé à le savoir, la raison pour laquelle je n'avais pas pris le tmeps de tenter de lire le titre sur la couverture pourtant bien évidente.

Je partis à la salle de bain, fermant la porte. Lorsque j'arrivai près de la toilette, un sac qui ne m'appartenait pas y était. je le pris et le lança contre la porte. Après avoir fait ma petite besogne, je me rendis à la porte, prenant le sac et ouvrit la porte. Le sac à la main, je me suis dit que ça devrait être le moment de lui lancer. Je le pris et visai son livre... j'apperçus ensuite la couverture, mais un pau trôp tard puisque j'avais déjà lancé le sac en direction du livre. 120 jours de sodome... eh bah, décidément, cet homme me faisait de plus en plus peur...

J'était bien concentrer dans ma passionnante lecture quand soudain un sac tomba brusquement dessus. Ce fou furieux venait d'interrompre un passage qui était vraiment intéressant. Mais je n'entrerais pas dans les détails. Revenons à ce garçon. Je tourna ma tête en sa direction, le regard noir et les sourcils froncé.

« C'est quoi ton problème. Tu connais pas la délicatesse ? »

Lui dis-je d'un ton peu chaleureux. Je le foudroyait du regard que je voulais menaçant. Pourquoi il avait fait ça ? Il pouvait pas juste le poser doucement à coté de mon lit ou simplement me le donner. Ça m'avait vraiment fâcher. Je m'en doute bien qu'il ne doit pas m'apprécier mais il y a quand même des limites. En plus c'est mon sac...et il le lance...sur moi ! C'est carrément du non respect. S'en est même insultant. Je me leva et me posa en avant de mon lit. Toujours le même regard qui disait ''j'espère que ta une bonne raison, minus.''

Il y avait quelque chose en moi qui demandait l'attention. Je ne savais pas quoi, mais tout ce que je voulais était d'avoir de l'Attention de quelqu'un. Aucune idée non plus de comment je devrais m'y prendre, de pourquoi j'agissais ainsi ou pourquoi j'allais agir comme ce que j'allais faire. Pourtant, je préférerais avoir l'attention de quelqu'un d'autres que d'un gars qui lit les 120 jours de sodome et qui a essayé de me violer... mais la seule chose que je sus dire...

« Laisse pas traîner tes trucs... »

je restai sur place, le regardant d'un regard neutre, comme s'il ne me faisait pas peur du tout. Il avait beau s'être levé de tout sa grande grandeur, me regarder d'un regard meurtrier, mais je m'en foutais. Il ne me faisait pas peur du tout. S'il voulait me confronter du regard, bah le Jeu venait d'être lancé.

« tu pourrais reçevoir plus qu'un sac la prochaine fois. »

dis-je, encore... je crois que je cherchais l'attention, mais avec les phrases que je cherchais je crois que je cherchais plus le trouble... mais je ne sais pas du tout pourquoi j'agissais ainsi, c'est comme si quelqu'un d'autre agissait à ma place. Je voulais agir ainsi, mais pas du tout en même temps. Vous savez quoi ? Me revoilà perdu dans ma tête. oh... damn you, Yuki !

Flocon de neige me lança deux autres remarque que je ne pris pas. En plus, c'était un ordre. Il avait vraiment confiance en lui. Ou sinon il faisait semblant. Il n'y avait qu'une seule façon de le découvrir. Tant pi pour mon plan machiavélique, j'en ai assez. Je m'avança vers lui plus vite qu'il ne pu réagir et en un instant ont se retrouva dans mon lit. Ce petit con était totalement soumis. Je l'avais plaquer la face contre la couverture et rejoins ses deux mains derrière son dos que je retenait fortement. Il n'avait aucune chance de se libérer.

« Espèce de petit con. Tu te prend pour qui à soudainement me donner un ordre ainsi ? »

Maintenant, tout dépendait de lui. Soit il était obéissant et je le lâchait, soit il me disait une autre connerie et je lui ferais subir un truc au hasard dans le livre. Il n'était pas mieux de continuer, même si ce n'étais pas l'envie qui me manquait. En plus j'en avait vraiment envie car le livre m'avais pas mal ''booster''. Je faisais maintenant face à un terrible dilemme. Soit il était gentil et je ne pourrais me soulager avec lui, soit il faisait le con et à ce moment là je le marquerait en tant que mon animal. Il serait à moi car je le marquerais à vie. Physiquement et psychologiquement. Il se souviendrais de moi pour le restant de sa vie. Ce serais mon petit chien, flocon de neige, et il ferais tout ce que je voudrais. Bon, là je l'oblige mentalement à faire le con juste pour que cette prophétie s'accomplisse. Voyons voir ce qu'il fera...

Je fus surpris de sa réaction. Me doutant qu'il n'allait pas bien le prendre, j'étais loin d'imaginer que ce serait à ce point. Il m'agrippa les mains, les joignit dans mon dos. J'avais beau me débattre, il les serrait trop fort. La difficulté à respirer me venait particulièrement du fait que j'avais le visage entièrement écrasé dans un oreiller. J'avais beau tourner ma tête pour tenter de mieux respirer, ça faisait mal... Je commençais à paniquer un peu de voir la situation tourner ainsi...

Je sentais quelque chose à l'intérieur de moi... la fameuse personnalité enfantine, elle semblait désirer cet homme... mais sérieusement, qu'est-ce qu'elle lui trouvait !! Moi en tout cas, il me faisait peur. de plus, il me tenait totalement à sa merci, j'aimais pas ça du tout, surtout après avoir su ce qu'il lisait et sur quoi il fantasmait... ce que j'aurais préféré ne pas savoir. Je me débattais, je tentais de libérer mes mains, sans succès. Mon orgueil me disait de ne pas abandonner, je le frappais donc dans le dos avec mes pieds, forçant avec mes bras pour me libérer.

« Lâche moi ! »

dis-je, tentant encore de me libérer du mieux que je pouvais. je me servirais bien de mes dents, si ce n'était pas que ma bouche est totalement coincé contre l'oreiller. Mes cheveux étaient partout dans mon visage, je ne voyais presque rien mais je ne pouvais pas les écarter puisque mes mains étaient noués par les siennes et ma tête étaient totalement coincé.

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