Un autre journée de travail... [PV Shiki]

Membres sans défense Messages : 26 Date d'inscription : 28/02/2012

Début de mon RP.

Je porte aujourd'hui un chandail gris, une chemise verte détachée et mes jeans. Mes cheveux sont attachés en queue de cheval basse, mes lunettes sur le bout de mon nez comme d'habitude.

C'était une belle soirée. Il faisait beau, c'était magnifique. J'étais dehors du nightclub, un joint à la main. La température était belle, dommage que je travaillais ce soir là. J'aurais bien aimé aller flirter dans les rues, profiter de la température, mais non... j'étais coincé au travail. Heureusement pour moi j'avais le droit de sortir dehors pour prendre un joint de temps à autre, Ça faisait du bien... Je regardais un peu partout, avant de me décider d'écraser mon joint et de me rendre à l'intérieur. Fallait bien que je retourne travailler, non !

Je me rendis derrière mon comptoir de vente. Déjà, des clients y attendaient. Des voix me criant leurs breuvages se faisait entendre, mais je décidai d'y aller tout à tour.

« un verre de bière s'il vous plait.»

Je prenais leur commande, un à un, leur monnaie, je leur rendais le change en même temps que leur verre, puis ceux-ci repartirent danser et se dandiner. J'aimais bien mon travail, je voyais des magnifiques hommes danser, ce que nous ne voyons pas tous les jours, d'ailleurs. Il n'y avait pas que des hommes, mais ceux-si sont majoritaire à Shinatsu, non ?

Il y avait aussi quelques prostitués qui squattait la place de temps à autres, dont un que j'affectionne personnellement. Faudrait bien que je me le tape un jour ou l'autre, non ? De plus, il semblerait qu'il est très violent, ce qui m'attirait souvent à vouloir me le payer. En parlant du loup, le voilà qu'il passe faire un tour dans le nightclub... peut-être se cherchait-il des victimes... Mon verre de Bière à la main, je pris quelques gorgée une à la suite de l'autre, ne cessant de le regarder. Je déposai mon verre sur le comptoir par après, attendant de voir s'il allait venir se chercher quelque chose à boire ici... Si c'était le cas, il est hors de question que je le laisse filer cette fois-ci, je devais absolument me le payer...

Cette soirée était magnifique. La température était chaude et douce. Un léger vent frais passait par-ci, par-là ce qui me donnait quelque frisson dans le cou. Cette température me permis de ne mettre qu'une simple chemise blanche et un pantalons noir. J'aimai ce genre de nuit. Elle permettait qu'on s'habille plus légèrement. Je me rendais au nightclub pour aller travailler. Je me sentait un peu fatiguer mais ce début de nuit était si beau que ça me donna de l’énergie. Et puis ce n'est pas les solutions qui manque au nightclub quand on est peu à plat...

J'entra par la porte de devant. L'air en dedans était plus dense et chaud. Il faisait sombre mais les effet de lumière qui bougeait au son de la musique éclairait un peu. Les gens dansait, buvait, fumait. Je regarda tout les visage qui s'y trouvait et en vis quelque uns qui était de mon genre mais ils étaient tous très ordinaire aujourd'hui. Bon, on fera avec on dirais. Mais la soirée est encore jeune et peu nous réservée plein de surprise. Je me dirigea vers le bar.

« Vodka. »

Dis-je au barman. Je croisa son regard. Je le regarda de haut en bas. Il ne me disait rien. Est-ce qu'il était nouveau ? Parce que je n'avais jamais vue son visage avant.

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Je fixai l'homme qui était venu se chercher quelque chose... de la vodka. Sa voix était Ma-gni-fi-que... Son visage était sublime, et son corps... j'en bavait presque... Je lui fis signe d'attendre quelques instants, prenant un bout de papier et un crayon, allant sur le comptoir du fond, dos à lui. J'y apposai ce que je voulais y mettre, le collant au verre de vodka que je m'apprêtait à lui servir. J'hallucinais, j'imaginais pleins de trucs, je rêvassais sur lui, je fantasmait. Je le voulais. Disons que je suis en manque, ça n'aide pas à mon cas, me faisant le désirer encore plus. J'espérais juste qu'il aille un petit coin de sa nuit pour moi *o*

Je versai l'alcool dans ce fameux verre, lui remettant ensuite le verre en le déposant sur le comptoir, le papier en sa direction, attendant sa monnaie. Mon visage restait neutre, restant à mon travail même si ma tête n'y était pas trop. J'avais hâte de terminer le quart qu'il me restait à faire. Quinze petites minutes, et j'aurai fini de travailler. Il sera à moi... je serai à lui plutôt. Un ou l'autre, nous serions probablement dans la même chambre, dans le même lit...

Je rêvais trop...

T'as un coin de ta nuit pour moi ?
25-0743-6678
dans 15 minutes.
Honda Minami.

j'espérais qu'il finisse par lire ce foutu bout de papier apposé à son verre, juste sous son nez, en sa direction. Les écriteaux parlèrent presque d'eux mêmes... ''Lis-moi, lis nous !!!!! '' Heureusement que j'étais derrière mon comptoir, les gens qui passèrent ne peuvent pas voir la bosse se faisant dans mes pantalons... fallait que je pense à autre chose, je ne voulais pas me faire coincer par le directeur, bandé bien dur, excité par un client et encore moins en train de donner mon numéro de téléphone à un prostitué client du nightclub... je me ferais congédier automatiquement >.<

Le barman me donna mon verre. Il avait une drôle de tête. Il me regardait avec des yeux que je devina plein d'envie. Je ris intérieurement. Mon physique fait baver tellement de gens. Je m'en réjoui à chaque fois. D'un coup d’œil subtil je regarda sous sa ceinture. Il y avait une grosse bosse. Une belle et énorme bosse. Je leva un sourcil et mon regard remonta vers lui. Je scruta son visage plus attentivement et je pouvais maintenant lire toute les émotions qui avait dessus. Il y avait surtout de l'envie et du désir. En très grande quantité. Il me voulait, c'était évident. Je pris mon verre. Je vis un papier dessus. Ah ah, bien sur.

T'as un coin de ta nuit pour moi ?
25-0743-6678
dans 15 minutes.
Honda Minami.

Je bu le contenu de mon verre en un gorgée. Le reposa et le fixa droit dans les yeux. Mais avec LE regard qui tue. C'était un regard qui disait l'approbation mais qu'il devait aussi faire ses preuves. Je pris une serviette et écris un numéro. 9. Celui de ma chambre à l'étage. Je le mis devant lui puis partie en direction de l'escalier. Sans payer, évidement. Je marcha dans le long couloir et malgré la forte musique qui jouait en bas j'entendais les cris de plaisir qui provenait des chambres. Je me rendis à la numéro 9 et entra. Le décor était noir et rouge et plusieurs instrument en métal ce trouvait sur les tables de chaque coté de la pièce. Je m'assis sur le grand lit, m'alluma une cigarette et patienta pendant les prochaines 15 minutes. Je me demanda s'il avait assez de courage pour venir. Bah, on verra.

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je vis son regard d'approbation, c'est tout juste s'il ne me faisait pas fondre. Cependant, il semblait avoir remarqué mon envie, surtout après avoir regardé drôlement bas, sous ma ceinture plus particulièrement. Évidemment je pris la serviette de table auquel le jeune prostitué avait écrit le numéro 9 dessus, le numéro de sa chambre. Je m'empressa de le mettre dans ma poche, pour que personne ne le voit. Je crois que le dernier 15 minutes de travail allait être très long... Je me rendis compte qu'il était parti sans payer... je le pris donc de ma poche, lui payant son verre. Je retournai ensuite à mon travail. Après avoir ENFIN terminé mon quart, je laissai la place à l'autre serveur. Heureusement que la bosse dans mes pantalons était partie, je pus sortir de derrière mon comptoir sans gêne.

Je me rendis ensuite à l'escalier, montant rapidement dans le couloir des chambres pour que l'autre serveur ne me voit pas. Je longeai le couloir jusqu'à la porte numéro 9. Rendu devant, je frappai à la porte, attendant qu'il vienne m'ouvrir. J'avais hâte d'être rendu à l'intérieur, de voir ce à quoi sa chambre avait l'air.

Je ne pus attendre plus.

je m'empressai d'ouvrir la porte, délicatement, pénétrant la chambre. La scène de l'homme attendant pour sa victime assis sur son lit était sublime.

De plus, les divers instruments qui décorait al chambre qui était peintes en noirs et rouge m'excitait, pleins d'images perverses me venant rapidement en tête, hallucinant et fantasmant sur lui et moi qui les utilisait... La bosse de mes pantalons revint, je ferma la porte derrière moi.

Après quelque minutes je fini ma cigarette. Je m'en alluma une deuxième. En pris une longue touche. Pendant que j’attendais, je me demandait ce que cette homme aimai le plus. Voudrais-t-il se faire dominer ? Ou me dominer ? Voulait-il ce faire humilié dans des position étrange pendant que je le sodomise ? Est-ce qu'il voulait du sang ? Est-ce que c'était un sado-maso pur et dur ? Ou peu être qu'il ne savait même pas que j'étais dans ce domaine. Peu importe. Quelque temps après j'entendis quelqu'un cogner à ma porte. C'était surement lui. Aussitôt il l'ouvra. Je n’eus même pas besoin de me lever pour la lui ouvrir. Ça faisait mon affaire. Assis sur mon lit, les jambes croiser je finissait ma cigarette. Je le regardait d'un regard profond et que je voulais pervers. En entrant dans la pièce il était à plat mais aussitôt la belle grosse que j'avais vue quelque minutes plus tôt réapparue. J'esquissa un sourire. Mon regard l'invitait. Pour commencer je voulais le laisser faire tout ce qu'il voulait après je prendrais les commandes. Je l'attendis pour voir ce qu'il ferais.

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Mon regard envieux, pleins de désirs, se fixait sur le visage magnifique et invitant de mon prostitué après avoir fouillé la salle des yeux. Je m'approchai de lui lentement, retirant ma chamise verte forêt de façon un peu sensuelle et la laissant tomber derrière moi. Je m'approchais encore de mon vis-à-vis, me mordant légèrement la lèvre inférieur. Rendu au lit, je posai mes mains sur le bout, grimpant à quatre pattes dessus et m'approchant jusqu'à ce que nos visages soient vis à vis.

« montres-moi comment fonctionne tes instruments... »

Je veux qu'il me fasse souffrir...

J'avais quelque peu invité l'homme devant moi qui devait surement être habitué dans ce domaine. Je connaissais certains d'entre eux, mais ce n'était qu'une façon comme une autre de l'inviter à prendre le dessus sur moi. Je détachai mes cheveux, retirant les lunettes et je les mis sur une table de chevet pas très loin de nous. Mon visage rempli d'envies diverses retourna se poser sur l'homme sous moi, j'attendais encore une réaction de sa part... je voulais avoir mal. je voulais qu'il me griffe, me morde, me frappe, m'attache, m'aveugle, me soumette à lui.

L'homme s'approchait. Il avait l'air d'avoir de l'assurance. C'était très bien. Mais je me demanda s'il en avait assez pour ne pas sortir de la chambre en larme avant que ça ne finisse. N'y pensons plus, il faut commencer. Je me leva et me dirigea vers l'une des tables. J'était dos à l'homme puis j'enleva ma chemise et la jeta par terre. Je pris quelque instrument sur la table et revint vers lui. Je m'approcha et lui mis un bandeau sur les yeux ainsi qu'une boule rouge dans la bouche auquel était relié des lanières de cuir que j'attacha derrière sa tête. Je le tira sur un bras et pris la longue chaine qui était accroché au mur et scella ses deux poignet. Ainsi il ne voyait rien, ne pourrait parler et aurait de la difficulté à bouger car j'avais neutralisé ses deux bras. Je pris ensuite une bougie rouge qui était sur les tables et versa de la cire chaude partout sur son torse. Je commençais ainsi pour tester son niveau de douleur. Savoir s'il était fort ou faible. J'espérait qu'il soit du coté des durs.

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Je le vis aller chercher son matériel en retirant sa chemise. Il s'empressa de me bander les yeux. Il me mit ensuite quelque chose dans la bouche. Je sentais le métal froid et j'entendais le clignements de chaînes qu'il enroula autour de mes poignets, les attachant bien serré ensemble. Je bougeais mes mains légèrement, tentant de voir s'il y avait une faille... j'étais incapable de me libérer. Cet homme en connaissait donc beaucoup à ce sujet. j'en étais, disons, soulagé... mais j'avais à présent plusieurs sens en moins, dont la vue. Je ne pouvais pas non plus parler, ni bouger. Cet homme semblait s'être bien préparée.

Ensuite, je sentis une légère fraîche, me donnant un indice qu'il s'était éloigné un peu, probablement pour prendre quelque chose. Je sentis ensuite quelque chose de brûlant s'apposer sur moi. C'était chaud. Je serrai les poings légèrement, ça me faisait mal, c'était souffrant, mais j'appréciais bien le contact brûlant de ce qui semblait être de la cire de chandelles liquide, puisque l'odeur me montait légèrement aux narines et que ça ne coulait plus sur ma peau. J'attendais avec impatience la suite des événements et ce qu'il allait me faire prochainement.

Hm, très bien, ce n'est pas un femmelette. Après lui avoir verser une bonne couche de cire, je lui étampa la chandelle du coté de la flamme sur le torse. Ça le brûla un peu pis je remis la chandelle à sa place. Bon, il est maintenant temps de passé au chose sérieuse. Je pris une autre chose sur la table puis je me remis sur le lit. Je détacha ma ceinture, défis le bouton et descendis un peu mon pantalons sans l'enlever. Avant de commencer toute chose, je mis un élastique spécial autour de son membre bien dur. Ça allait le faire retenir très longtemps. Ce serais une sensation désagréable mais à lui, ça lui fera surement du bien puis qu'il est maso.

Maintenant que j'étais dur aussi, je m'incrusta en lui. J'alla très profondément. Je commença ensuite mon mouvement de va et viens. Pendant une minute ou deux je tint ça constant puis quand il fut bien dilater et humide je me retira et mis sur mon membre un tube de plastique qui tout autour avait des bosses rondes. Je commença à entrer tout doucement. Je lui laissa un peu le temps de s'y habituer, ce qui veut dire 3 secondes puis je repris mon mouvement et de minute en minute j'accelera la cadence.

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[Hors RPG: je me lève tôt demain... ça va être ma dernière réponse pour moi ce soir ^^]

Je sentis la flamme de la chandelle toucher ma peau, me brûlant sur le coup. Le laissai sortir un lon mais faible gémissement, puis il remit la chandelle à sa place. il mit quelque chose autour de mon truc, ça faisait étrange disons... je ne savais cependant pas ce que c'était. Ensuite il me pénétra rapidement, c'est dans un gémissement que le plaisir m'envahit, puis il se mit à faire des vas-et-viens. Ma respiration s'accéléra, mais j'avais unp eu de difficulté à respirer vu ce que j'avais de coincé dans ma bouche.

Il se retira quelques minutes après seulement. je en savais pas ce qu'il faisait, c'était drôle comme sensation de ne rien savoir autour de soi. Ma respiration rapide raisonnait, j'entendais rien d'autre, je ne ressentais rien d'autre que l'envie de la souffrance, c'est comme si le prostitué en question était mort...

Please, hurt me...

Je vis rapidement qu'il était encore vivant lorsque celui-ci donna signe de vie en s'incrustant en moi pour une deuxième fois... cependant, c'était plus gros et différent que la dernière fois. Ça faisait mal, je ne savais pas ce qu'il faisait, mais tout ce que je sais c'est que la douleur et le plaisir ensemble ça donne des très bonnes sensations... Il ne me donna que quelques courtes secondes avant de reprendre ses mouvements, tout aussi douloureux. Évidemment, je gémissais et je respirais bruyamment du mieux que je pouvais puisque le truc dans ma bouche bloquait le passage de l'air.

Hmmm. Il avait l'air aimer ça mais il me semble que ce n'était pas assez. Je me retira donc et je me dirigea vers une porte. Je l'ouvris et un autre homme entra dans la pièce. Il était vêtu d'un habit en latex qui lui moulait le corps et sa tête était complètement recouverte par un masque à gaz. Je le surnomme affectueusement M.Nobody car je n'ai jamais vue son visage et que je ne connais pas son nom. Mais je l'apprécie énormément. Je retourna vers mon client.

« Nous avons un invité. »

Lui dis-je. Nobody alla directement vers Minami et lui enleva son bandeau. Il le fixa de près avec ses yeux camoufler derrière les vitres de son masque. Ensuite il détacha les chaines du mur mais pas celle au poignet de l'homme et l'emmena vers le centre de la pièce et le rattacha au plafond. Il était maintenant à genoux, les bras lever par les chaines. Moi j'étais à coté de la porte je regardait Nobody. Il enleva son habit de latex et était maintenant nu et bien dur à ce que je pouvait voir. Il se tourna vers moi il pointa quelque chose sur une des tables. Je vis ce qu'il voulait que je prenne et cela me plaisait beaucoup. Cet homme savait lire dans mes pensé. Il savait toujours ce que je voulait. Je le pris et me positionna derrière Minami. Nobody enleva la boule rouge qu obstruait sa bouche et caressa son visage, un peu comme s'il l'examinait. Puis il avança son bas-ventre vers sa tête et lui mis son engin dans la bouche en l’agrippant par la tête. Il guida les mouvement de tête de Minami et ne le fit pas dans une grande délicatesse. Moi de mon coté j'observais. Admirant le spectacle mais je me rappela que j'avais aussi un rôle dans cette histoire. Donc je déroula le fouet qui était dans ma main, pris un élan le fit claquer sur le dos de Minami.

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Je le sentis se retirer. Il s'éloigna ensuite de moi, j'entendi une porte s'ouvrir. Évidemment je ne pus vous qui c'était, mais le jeune prostitué me confirmait qu'il y avait un invité. Qui était-il ? je ne savais pas non plus. Je le découvris lorsque ce dernier retira le bandeau de mes yeux. je remarquait ensuite un énorme masque à gaz qui me fixait, je pus voir, flou certes, mais d'une certaine clarté ses yeux qui me regardaient. Il détacha les chaînes du mur, m'attirant ensuite à l'aide de ceux-ci vers le plancher. Il les attacha au plafond, m'obligeant à me mettre à genoux. Je le fixais retirer ses vêtements. je compris rapidement qu'il allait participer à notre petite partie de jambe en l'air... bien que ce n'était pas vraiment le bon terme à utiliser dans notre cas.

Ce fameux homme nu pointa quelque chose sur une table, mais avant que j'ait eu le tmeps de me retourner pour voir ce que c'était, Shiki semblait s'en être emparé. Je sentais sa présence derrière moi. La boule étrange que j'avais entre mes dents fut retiré, et sans grande délicatesse, mon vis-à-vis s'empressa d'aller mettre son organe dans le fond de ma gorge. Je n'étais pas libre de mes mouvements, il se masturbait simplement à l'aide de ma tête. Mes cheveux longs étaient collés à montorse, à mon visage, dans mon cou tout en sueur. J'entendis ensuite un bruit sourd de quelque chose qui avait fendu l'air, puis je l'entendis claquer quelque part. Je me rendis compte rapidement que c'était sur ma peau puisque celle-ci se mit à brûler vive. Évidemment, je lâchai un gémissement, bien étouffé par l'engin de l'homme toujours inconnu. À ma grande surprise, j'aimais bien les contacts raides et douloureux du fouet Smile

Je le fouettai de toute mes forces. Coup après coup, je n'arrêtai pas. La sensation de lui faire atrocement mal était vraiment jouissive. Mon dieu que j'aimais ça ! Je crois qu'on ne ma mis au monde seulement pour faire mal au gens. Ah ah. Surement pas mais c'est bien drôle de l'imaginer. Si mes parents saurais ce que je ferais en ce moment et ce que j'ai déjà fait dans le passé ils n'en reviendrais pas. Mais aussi, Minami avait l'air d'aimer ça autant que moi. C'était dur dans mon pantalon, je le sentait. Mon corps avait chaud aussi. Nobody, tout en me fixant, continuait son va-et-viens violant avec Minami. Je le blessait dans le dos encore et encore. De minces filet de sang coulait sur sa peau luisante. J'en avais l'eau à bouche. Mais ce n'était pas encore assez ! J'en voulait plus ! Je lança le fouet à l'autre bout de la pièce. Nobody sembla un peu intrigué malgré son habitude à ce genre de scène. J'alla vers une armoire et me pris une grande bouteille d'alcool. J'en pris plusieurs gorgée puis versa le reste sur le dos de Minami. Sur les plaies, cela devait faire très mal. Je salivai au son de ses cris de douleur.

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Chaque coup de fouet semblait venir du plus profond de son coeur. Il frappait vraiment fort, il semblait vraiment aimer cette pratique... Toujours dans ma fellation forcée, je gémissais dû aux coups de fouet dans mon dos. Ça faisait mal, mais c'était bon. Je le vis ensuite partir, arrêtant de me frapper. Je sentis ensuite un liquide se déverser sur mon dos, un liquide qui ne prit guère de temps avant de brûler les plaies. Ça sentait l'alcool, je crois pas que mes plaies vont s'infecter ainsi...

La douleur causé par les plaies qui désinfectait, c'était peut-être trop pour mon corps... Ça semblait être trop, mais je ne trouvais pas désagréable, j'en voulais plus moi-même bien que mes gémissements et mes cris de douleurs dû à cet alcool semblèrent dire le contraire. Ça faisait vraiment mal, atrocement mal. De plus, ma peau était toute étirée à cause de mes bras attachés au plafond, elle tirait vers le haut et ça faisait encore plus mal à cause de ce détail. J'avais rarement poussé mon corps aussi loin et je dois dire que ce n'est pas si pire, et que j'aime bien !

mais bon, après tout ça, faut croire que j'en aurai pour mon argent !

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