Kitai Gakuen
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 Yuki Mizushima débarque !

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AuteurMessage
Yuki Mizushima
Modérateurs sans pitié
Yuki Mizushima


Messages : 82
Date d'inscription : 19/02/2012

Feuille de personnage
Âge :: 18 ans
Amant :: non, pas encore ~
Un peu plus sur moi ::

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MessageSujet: Yuki Mizushima débarque !   Yuki Mizushima débarque ! I_icon_minitimeDim 19 Fév - 22:09

Tu viens tout juste d’entrer dans cette classe. Il y a là plusieurs élèves, évidemment tous de sexe masculin. La pièce te tape à l’œil en premier : des murs de vieille brique, sur ces murs reposent des portraits assez vieux montrant les anciens enseignants de la classe où tu te situe présentement. Les fenêtres sont grandes, le haut de ceux-ci est en arche, un peu comme la vielle architecture européenne des années 1800. Ensuite, la classe te fait rapidement remarquer qu’ils sont là, à te regarder. Ils veulent tous savoir à quoi s’attendre de votre part. L’enseignant vous demande alors de vous présenter. Il vous donne donc 15 minutes.

MIZUSHIMA YUKI

IDENTIFICATION
► Nom : Mizushima
► Prénom : Yuki
► Âge : 18 ans
► Sexe : Masculin
► Orientation : Bisexuel
► Emploi : Aucune ~
► Étudiant ? : Oui

VOUS-MÊME
► Surnom : Yuki
► Âge : 18 ans
► Commentaires : Bah… je suis codeur sur le forum…
► Comment avez-vous trouvé le forum ? : J'en suis codeur ~
► Fréquence de connexion par semaine : Ouaf… 3 ou 4… ou 5.

HISTOIRE
►Passé :
Notre très cher Yuki est né… ll y a 19 ans de ça, dans la préfecture d’Osaka. J’ai grandis aux côtés de mes parents. Mon père, ne sachant pas se contrôler, se révélait souvent violent, frappant les murs, lançant des objets partout dans la maison continuellement. Je me souviens clairement de la panique que ma mère avait à chaque crise que mon père avait. Pour ce qui est d’elle, ma mère, elle était belle, toujours souriante et gentille. C’était tout le contraire de son père. J’ai donc grandis dans une atmosphère instable. Ma mère m’a dit que j’aimais beaucoup voir ma mère jouer de la basse. Elle est une grande bassiste et je la respecte beaucoup pour ça, mais j’aimais vraiment la voir jouer. Elle m’a dit que j’ai commencé à jouer de la basse alors que j’avais 5 ans. J’ai touché à une corde de basse pour la première fois bien avant, semblerait-il, mais la basse était sois disant trop grande pour mon petit corps.

Ensuite, j’ai commencé l’école, comme tous les jeunes de 5 ans. Ce fut un choc : personne ne semblait être attiré vers moi… au contraire : tout le monde me rejetait. Pourquoi, je ne l’ai jamais su et sérieusement, je préférerais ne jamais le savoir. La situation fut ainsi pour quelques années, jusqu’à mes 7 ans. Dès lors, la violence commençait à se faire voir. Ça paraissait que les jeunes de l’âge de 7 ans commençaient à connaître la violence, surtout dans les jeux vidéo. Je me suis fait cracher dessus, je commençais à me faire bousculer, insulter constamment. Les enseignants, eux, agissaient comme s’ils n’avaient rien vu. Je me faisais donc ignorer par les plus matures, maltraiter par les immatures. La situation dégénéra lorsque les élèves commencèrent à mettre des papiers sur mon casier, des insultes, ils écrivaient sur mon casiers en crayon permanent, vandalisaient tous mes cahiers qui pouvait leur tomber sous la main. Les élèves passèrent leur temps à vider mes étuis à crayons au sol, déchirer des pages de cahiers, déchirer des devoirs. Je n’arrêtais pas de tout recommencer, je me faisais chicaner par les enseignants lorsque je ne remettais pas mes travaux à temps et ils me renvoyèrent à ma place lorsque je disais que c’était les autres qui les avaient déchirés. C’est comme s’ils ne voulaient pas comprendre.

Ainsi, je finis rapidement en dépression : Dès mes 8 ans, sa mère pouvait en ressentir les effets : j’étais moins souriant, je mangeais moins, j’étais constamment stressé, je ne voulais pas aller à l’école, je ne voulais même pas en entendre parler, j’étais devenu violent, je commençais à dessiner particulièrement des choses morbides, Je ne jouais même plus de basse !! Ma mère ne fit rien, se contentant de me suivre des yeux. J’aurais bien aimé qu’elle fasse de quoi pour m’aider, qu’elle en parle à l’école puisqu’elle semblait la seule qui pouvait faire quelque chose. Mon père n’aidait pas à la cause, à chaque fois que je lui en parlais, il ne cessait de m’insulter et il se révélait violent. Il disait souvent que je n’étais rien d’autre qu’un bon à rien et que j’étais trop faible pour me défendre par moi-même. A force de l’entendre parler, je commençais à me dire que j’étais bel et bien faible, idiot, naïf… même mon père me le disais, et à un âge comme 8 ans, on croit pas mal tout ce que ses parents disent…

Bref, j’ai commencé à traîner un couteau avec moi, dans ma chambre. Je l’avais toujours près de moi, je commençais à être vraiment hantée par le fait de me retirer la vie. Je n’y voyais plus aucune opportunité : j’étais un raté, un idiot, un faible, j’étais stupide, naïf… tout le monde le disait, même mon père. Ma mère se décida d’aller consulter un psychologue lorsqu’elle découvrit que je pensais à ça à tous les soirs. C’est donc à 9 ans que je fus diagnostiqué ‘’dépressif à haut niveau avec forte chance de suicide’’. Ma mère me gardait à l’œil, un rendez-vous par semaine chez la psychologue, anti-dépresseurs à prendre. Au début, rien de tout ça n’avait aidé, aucun changement dans ma vie. J’avais senti les effets seulement quelques mois après le premier rendez-vous. Les élèves de l’école n’avaient toujours pas arrêté de cracher dessus, les enseignants ne faisant toujours rien contre ça. Cependant, avec les anti-dépresseurs, je n’y portais plus attention, c’est comme si j’étais dans un autre monde.

ma vie continua dans la petite misère, ce petit train train quotidien jusqu’ à mes 13 ans, là où j’ai fait l’erreur d’arrêter de prendre mes anti-dépresseurs par moi-même. Je refusais d’aller voir la psychologue, affirmant que ça servait à rien. J’en ressentis rapidement les effets : Toute la misère que je subissais depuis ces dernières années, je m’en rendis rapidement compte, n’étant plus sous anti-dépresseurs. J’entendais des insultes, les jeunes qui me criaient de mourir, qui écrivait des atrocités sur mon casier… J’en prenais compte, même si j’essayais d’ignorer tout ça. J’en fus rapidement persécuté. Ma mère semblait s’en être rendu compte rapidement, mais je refusais de l’écouter. C’était un erreur, j’aurais pas du. J’aurais du suivre ses conseils. Cette journée là, rien n’allait, mon père était en pleine crise, c’était mauvais.

Je m’en souviendrai toute ma vie…

J’étais seul dans ma chambre, fixant le plancher. J’entendais mon père crier, m’insulter encore, me traitant de torchon parce que je refusais de prendre mes anti-dépresseurs. Sa voix était forte et pas contente.
Il disais : « C’est juste un maudit torche-cul !! Il arrête de prendre ses anti-dépresseurs, il sait quels sont les effets de la dépression, il s’attends à quoi ? que ça s’arrête du jour au lendemain ? C’est juste un maudit crotté de penser ça !!»
Ma mère ne répondait pas, probablement qu’elle avait peur de la réaction de mon père. J’entendais du bruit dans la maison, mon père frappait encore partout. J’étais seul, dans ma chambre, mes parents dans le salon, moi qui fixait le plancher et qui repensait à tout ce que j’entendais à l’école, ce que les profs faisaient, le fait qu’ils m’ignoraient comme d’habitude, moi qui refusait d’aller voir la psychologue, qui avait arrêté les pilules magiques… Je me sentais vraiment stupide, je commençais vraiment à croire à toutes ces bêtises. Les pensées des élèves qui me criaient de mourir, j’en avais plein la tête. Sur un coup de tête, j’ouvris le tiroir de ma table de chevet, là où j’avais toujours un des couteaux de cuisine. Je le pris et le fixa longuement, entendant toujours mon père frapper partout. Mon père frappa à ma porte, mais elle était barrée. Il pouvait bien faire tout ce qu’il voulait pour entrer, ça ne fonctionnerait pas. Mon père frappa toujours partout.

«C,est juste un maudit crotté !!» «Meurt !» «Je te souhaite une mort douloureuse !» «Une corde pour ta fête, sais-tu quoi en faire ?» «T’es qu’un imbécile» Sur ces mots… je les entendait dans ma tête. C’est tout ce que j’entendais. J’entendais plus rien sauf ces insultes. Le petit couteau à la main, je l’approchais de mon poignet. J’avais peur, mais moins que d’aller à l’école… je trouvais ça étrange. La lame froide se déposa sur mon poignet. Un frisson parcourut mon corps. Je me sentais mal, ces insultes toujours tournantes dans ma tête… je me disais que c’était ma chance de me libérer de tout ça. La lame perça finalement ma peau. Je bougeais tout seul, je ne faisais rien. C’est comme si ma main qui tenait le couteau avait bougé seul, tranchant ma peau. Le couteau se décolla de ma peau, je regardais la plaie. Ça saignait, ça faisait mal… mais je me sentais me libérer.

Une autre coupure, puis une troisième, et une quatrième. Je pleurais, ça faisait mal. Ma mère avait réussi à trouver la clef de ma chambre je ne sais pas comment, mais elle y est entré… J’étais encore conscient lorsqu’elle était entrée, mais j’étais sur le sol, inerte, incapable de bouger, le couteau à la main, en train de me vider de mon sang sur le plancher froid. Je fut rapidement emmené à l’hôpital, trop tôt à mon goût puisque j’aurais voulu mourir.

C’est ce jour qui a décidé mon futur…

J’avais été enfermé dans un hôpital psychiatrique. J’étais dans une chambre, un lit avec des attaches en cuirs dessus. Tout était blanc. Ça faisait différent du noir de ma chambre, du noir de ma famille, du noir de mes pensées et du noir de ma vie… J’avais essayé de me rebeller souvent, étant très têtu de nature, mas j’ai vite compris que si j’osais me lever contre l’hôpital, je finirais forcé de me soumettre aux liens solides de mon lit… disons que cette endroit devint rapidement mon pire cauchemar, je détestais cette endroit, mais pourtant j’ai du m’y faire, je ne sais pas comment, mais j’ai réussi à durer 1 an et demi là dedans, pour y être libéré vers mes 16 ans…

Dès lors, j’ai décidé de prendre un nouveau virage dans ma vie, d’essayer d’oublier ma dépression, oublier les mauvais côtés… j’ai tout mis ça de côté, mais ça devint rapidement comme une deuxième personnalité. Cette deuxième personnalité serait dépressive et suicidaire, alors que mon moi habituel est gentil. Mes parents ont aidé un peu à la cause en déménageant et en changeant de préfecture. J’ai eu alors une chance de communiquer et de socialiser dès mon arrivée pour m’intégrer plus facilement. J’ai un de mes amis qui est Gay, et à cette époque, c’est lui qui m’a fait questionner sur mon orientation sexuelle, surtout après avoir su que j’ai jamais sorti avec des femmes, ne les trouvant pas intéressantes. J’ai rapidement découvert que je n’étais pas hétéro… vivement la socialisation, c’est ainsi que j’ai pu en découvrir plus sur moi, de même pour mon style puisque la gang avec qui j’ai commencé à me tenir était légèrement loufoque…

Un dernier événement dernièrement : mes parents se séparaient… il était temps, vu le grand changement de tempérament entre ces deux là… je pourrai enfin partir avec ma mère, laisser mon père là… Cependant, mon père avait décidé de me garder… j’avais juste 16 ans, je ne pouvais pas prendre de décisions par moi-même, je fus donc obligé de partir avec le violent homme qu’est mon père. Il avait perdu son job : il était policier mais il a utilisé un peu trop la violence verbale envers un des hommes qu’il avait arrêté un jour et il fut suspendu. Très insulté, mon père avait démissionné. Se cherchant donc un nouveau job, il reçut une lettre pour l’inciter à aller dans un endroit nommé Shinatsu, comme garde de sécurité… Je n’en savais pas plus, mais je fus obligé de suivre. De plus, selon la lettre, j’étais invité. Non pas pour un travail, mais plus pour l’école. Des études en paix… c’est mon rêve depuis ma première journée d’école à vie. Pas besoin d’accepter : j’étais obligé d’aller avec mon père puisqu’il voulait me garder. Nous partîmes donc ensemble vers cette endroit ‘’étrange’’.

Maintenant à shinatsu depuis deux ans, c’est la paix. Je ne subis plus aucun harcèlement, ça m’aide beaucoup pour ma ‘’dépression’’, même si elle n’y est plus vraiment. Depuis ce temps, tout va beaucoup mieux dans ma vie, c’est la paix. Le hic : c’est mon père. Toujours aussi violent, toujours aussi stupide, toujours aussi frustré de la vie… Il ne cesse de m’insulter encore, il s’en prend souvent aux murs de la maison, il s’en est déjà prit à moi, malheureusement. Cependant, ce n’était pas beaucoup : il ne m’avait qu’attrapé par les épaules pour me brasser un peu… mais mis à part lui, ma vie va beaucoup mieux.

DESCRIPTIONS
►Physique :
D’après les autres, mes cheveux sont comme une lumière. Effectivement, des cheveux blancs, c’est rare. Vous devinerez sûrement que c’est une teinture puisque les asiatiques ont habituellement les cheveux très foncés. J’ai cependant gardé une mèche noire qui traverse ma frange. Mes cheveux sont doux au toucher, et j’aime bien les entretenir plats, propres. Il n’y a pas beaucoup de reflets dedans puisqu’ils sont blancs, par contre on les voit très bien dans ma couleur naturel : la mèche noire perdu au milieu de ma frange. J’ai des cheveux courts derrière, en dégradés, et j’ai une frange longue devant qui me cache un œil. En parlant de mes yeux, ils sont bruns foncés. N’aimant pas cette couleur, je mets très souvent des lentilles blanches. Mes yeux, supposément séduisants, sont souvent retracés d’un trait léger de crayon noir. Vivement le maquillage !!

Mon visage n’a rien de si spécial… selon moi… par contre, j’ai vite remarqué que dans ma nouvelle ville, beaucoup de gens me trouvait séduisant, trouvant mon visage magnifique. J’aurais de beaux yeux, un visage aux traits fins, une peau qui semble si douce, une peau pâle… J’aurais un visage qui me donnerait un air pas mal mystérieux. Mais bon… ce sont les autres. Moi, tout ce que j’approuve de leurs dires, c’est ma peau douce et très pâle. J’ai rarement sorti lorsque j’étais jeune, dû à mes problèmes sociaux, la raison de ma pâle peau. Je n’ai cependant aucune cicatrice, presque aucun grain de beauté, aucun au visage d’ailleurs… C’est peut-être la raison pour laquelle les gens trouverait que j’ai un charme caché… Sérieusement, j’ai aucune idée où. Je suis peut-être un peu trop sévère sur moi-même, finalement…

Si on regarde le reste de mon corps… bah. Je trouve que j’ai des petites jambes, comme tous les gens de petite taille… Ce n’est pas avec les petit 160 cm que je vais me trouver grand !! Donc je me trouve petit… Mes muscles sont pas très forts, pas très gros, pas très développés, mais j’ai presque pas de gras dans le corps… ça compense ?? Ça sonne un peu comme le petit mince faible… je n’aime pas trop ça mais j’ai rien à y faire. Mes mains, eux, sont petites, mais longues… elles ne sont donc pas très larges. J’ai une taille fine, des jambes minces, des petits pieds… Disons que j’ai rien de vraiment spécial…

Niveau accessoire, je porte régulièrement des fausses canines de vampires. Je suis vraiment attiré par ceux là, même si personne ne sait s’ils existent vraiment ou pas. Sinon, encore au visage, j’ai un piercing sur la langue, elle prend la forme d’une petite tête de mort métallique. Je l’aime bien !! Sinon, j’en ai d’autres sur mes oreilles, j’ai un trou sur chaque oreille à l’emplacement habituel, sinon j’en ai un peu partout ailleurs sur les oreilles, jamais aux mêmes places. Ça sert pas à grand-chose parce que rare sont les gens qui voient mes oreilles, donc… Je déteste ne pas avoir d’accessoire, et je déteste montrer mon cou. Il a beau être long et mince, ma peau a beau être aussi pâle qu’elle a besoin d’être, aussi douce qu’elle peut, je m’en fiche. Je porte continuellement quelque chose au cou, soit un ‘’collier de chien’’, ou encore mon veston à collet. Sinon, la chemise et la cravate feront l’affaire. Pour les poignets, c’est la même chose. Tout le monde adore mes bras fins, mais moi, je porte toujours des bracelets noirs à n’en plus finir s’ils ne sont pas recouverts de manches longues.

Pour les vêtements, c’est assez particulier. Au régulier, je porte un pantalon noir ou un jeans noir troué, pleins de poches et de fermetures éclaires inutiles, pleines de ‘’straps’’ et de chaînes. Je ne porte jamais de shorts, j’aime pas ça… J’ai toujours… mais là, TOUJOURS mes bottes à plateformes noirs, en cuir, qui monte aux genoux. La plateforme ont exactement 15 centimètres de hauteur… c’est assez particulier, mais j’ai une grandeur normale avec ces bottes là. Sinon, pour le haut, je porte souvent des chandails de groupes de musique rock / métal, des bracelets cloutés à volonté, un collier ‘’de chien’’, comme tout le monde dit si bien… Mis à part les vêtements, soit disant normaux, je porte beaucoup le style visual Kei. Des grands vestons noirs, gothique en cuirs, j’en ai deux. Un d’entre eux a un grand collet, il arrête à ma cheville et il a des grandes broderies rouges dessus. Pour ce qui est de l’autre, il arrête aux genoux, pas très spécial, mais il y a des broderies dorées sur celui-là. Dans ce cas, mes pantalons noirs sont entré dans mes bottes à plateformes. J’ai souvent une chemise noire en dessous et une cravate noire en dentelle comme finition au niveau du cou. Je porte, dans ces cas, une paire de gants de cuirs noirs.
► Psychologique :
Je suis très particulier au niveau du psychologique. Ça ne paraît pas beaucoup comme ça, mais lorsque vous connaissez mon passé, vous ne vous en douterez pas du tout. Commençons par les problèmes mentaux diagnostiqués chez moi : La dépression. Depuis mes huit ans que je suis coincé avec ce trouble. Après avoir passé 10 ans avec ça, je la connais et je dois dire qu’elle n’est pas amusante du tout, la dépression. J’ai aussi des troubles anxieux, je fais quelques fois des crises de panique, mais c’est moins fréquent qu’auparavant… Ça m’arrive souvent d’avoir des malaises dus au surplus de stress. De plus, tout ça a entraîné un trouble de personnalités multiples. Je n’aime pas l’aborder sous ces termes, je préfère dire qu’il y a un côté de moi dépressif que j’ai mis de côté ces dernières années, mais c’est bel et bien un problème de personnalités.

Pour commencer, il y a le moi normal, celui qui déteste montrer ses sentiments, celui qui a un orgueil légèrement démesuré, celui qui paraît la majorité du temps. Vu mon orgueil, je déteste perdre le contrôle de moi-même, je déteste me ramasser inférieur, encore plus loin : je déteste être battu. Je suis très mauvais perdent, je sais… Cependant, je ne sais pas du tout pourquoi, mais lorsque je me ramasse en situation d’infériorité, je ne suis pas capable de rester sérieux. Je deviens légèrement immature… Je suis aussi très gêné, dû à mon passé puisque j’ai peur de la réaction des autres face à moi.

Continuons avec le moi dépressif. En fait, J’ai laissé ma personnalité dépressive de côté. Elle n’est pas revenue depuis un moment déjà, mais elle a presque refait surface dernièrement… Je la sens toujours en moi, j’ai toujours un côté de moi qui pense très négativement… c’est comme si j’avais deux opinions, dont une qui contredisait toujours celle que j’essaie de donner. Cette personnalité n’a pas de nom : je l’appelle simplement ‘’la dépression’’.

Finalement, le côté de moi incontrôlable. Celle-ci fait surface fréquemment. Ça ne prend pas beaucoup de choses pour que je perde contrôle, laissant place au moi enragé. Sous son contrôle, je suis fâché, incontrôlable, arrogant, violent… Ce sont les effets de la dépression, de l’accumulation de choses lors de mon passé, ce qui fait que je ne suis plus capable d’en prendre beaucoup. À la limite, je pourrais presque tuer quelqu’un, sous son contrôle, la raison pour laquelle il ne faut pas me provoquer.

Maintenant, voyons ce que j’aime. Les hommes, évidemment… Ça m’attire, et n’ayant jamais sorti avec quelqu’un auparavant, je suis curieux de voir ce que ça ferait d’être en couple… C’est difficile de cibler un type de garçon en particulier, bien que j’aime ceux qui ont un joli petit minois !! Mis à part ça, j’adore jouer de la musique, particulièrement de la basse. Je sais jouer de la guitare, mais je n’aime pas le son de celle-ci et je préfère donc la basse. Je n’aime pas trop manger. Pour moi, c’est perdre 10 minutes de sa vie à chaque fois qu’on mange un repas. De plus, je suis très difficile, beaucoup de choses que je n’aime pas en fait d’aliments… Pensons aux légumes, aux pommes, au poisson, aux algues, aux fruits de mer, aux patates, au chocolat… C’est appétissant, mais je n’aime pas ces aliments… Je préfère donc manger au minimum : lorsque j’ai faim je me prend un quelque chose de petit à manger, juste pour ne plus avoir faim. Je sais très bien que ce n’est pas bon, mais si ça peut équilibrer, je mange un repas le matin en me levant, bien que c’est le seul repas complet de la journée…

Je peux paraître peureux suite à ce que je vais dire, mais c’est vrai… Commençons par les hôpitaux : Phobie. Le nom de ces milieux me donne les frissons. Le fait d’avoir été enfermé 1 an et demi là dedans me rend malade : pas question que j’y retourne, ni dans une hôpital psychiatrique par faute de dépression, ni dans une simple clinique pour un doigt cassé. J’ai peur aussi des gens qui travaillent là, puisque c’était ces méchants gens qui m’attachaient à mon lit lorsque je paniquais… Mis à part ça, j’ai jamais eu d’affection, rares étaient les gens qui me touchaient lorsque j’étais jeune… je n’aime donc pas trop les contacts physiques, cela faisant trop bizarre pour moi. Pour en rajouter, les orages. Je n’aime pas du tout les orages. Si je me ramasse seul, je panique. De plus, j’ai une phobie des canins : je fige devant tout chiens, par peur qu’ils me sautent dessus si je pars en courant. Pour finir : je me sens mal de dire tout ce que je viens de dire parce que mon Orgueil me le défend… orgueil démesuré : j’aime pas me ramasser inférieur aux autres, surtout pas en publique… J’aime pas affirmer ce qui me rabaisse, comme mes peurs… Pourtant, après tout ça, faut avouer que je suis peureux…

C'est ainsi que se termine ta présentation devant la classe. Les élèves applaudirent, parlent entre eux, ils semblent t'apprécier. L'enseignant Te remercie et te montre où est ta place dans le local, puis tu vas t'y asseoir sans plus attendre.
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